Photographiée sous des trombes ou la bruine, la cité camarguaise révèle un autre visage, méconnu des milliers de festivaliers qui la parcourent en juillet, sous le soleil exactement. Pour savoir alors à quoi ressemble sous la pluie cette nouvelle capitale internationale de la culture, l’éditeur a sollicité le plus illustre des Arlésiens, Christian Lacroix :
« Épiphanie, révélation, abysses des divinités antédiluviennes autant que des divinités célestes, ouraniennes, éoliennes, amenées par le mistral qui forcément va venir souffler le beau temps dans les heures qui suivent, séchant les larmes du calcaire et du marbre, du goudron et de l’argile. Merci les dieux ! »
Photographies
Paru aux éditions de l’air, des livres
25 photographies noir & blanc, 36 pages format 15×21 cm + 50 exemplaires de tête, signés et numérotés, accompagnés d’un tirage original au format 18×24 cm, numéroté et signé.
[2019]